dimanche 22 novembre 2015

Maladie, vieillesse, emploi… des prestations sociales en hausse

L’article « Maladie, vieillesse, emploi… des prestations sociales en hausse » a été rédigé sur le monde le 10 novembre. Dans ce texte l’auteur démontre que par rapport aux années précédentes il y a une progression inferieure par rapport aux années précédentes. Entre 2010 et 2013 il y avait une augmentation de la part des prestations entre 3 et 3,3% alors que selon les données provisoires l’augmentation depuis 2013 serait seulement de 2,5%.
Ensuite ils nous démontrent l’augmentation des prestations pour les grandes catégories de risques : Au niveau de la maladie il y aurait eu une augmentation de 2,8% alors qu’en 2013 elle était inferieur avec 2,6%. Avec le recul de l’Age du passage à la retraite elles seraient passées à 4% par rapport à 3,5 % en 2013. Au niveau des accidents du travail et des maladies professionnelles les prestations avaient augmenté de 1,7 % alors qu’il y avait que 0,2 % d’augmentation en 2013. Cette augmentation est due à une revalorisation de 0,8% annuelle des prestations pour l’incapacité. 
Alors que la vieillesse a connu une augmentation inférieure à celle de 2013. Avec 2,3 % par rapport à 3,1 ce qui est du à la reforme de retraite. Vu que il y a moins de départ à la retraite l’état est donc moins obliger d’investir dans les prestations sociales de vieillesse-survie surtout celle qui représente 46% sur l’ensemble des prestations sociales. Les pensions sont également  moins revaloriser.
Une autre prestation qui cognait une hausse inferieure est celle de la maternité avec des prestations augmentant de 1,3% alors qu’elles avaient augmenté de 2% en 2013. Ce qui est du à la faible augmentation du nombre de naissances et à cause de la faible augmentation de la base mensuelle de calcul des allocations familiales il y a une augmentation moindre des prestations pour la famille. Pour l’emploi les prestations a également moins augmenter avec 2,4% par rapport à 2013 à cause des chômeurs de plus en plus indemnises et des nouvelles dispositions par rapport à l’assurance chômage.
Pour le logement il y a également une baisse de la croissance de  2 % par rapport à 3,6% en 2013. Puis pour finir par rapport à la pauvreté exclusion sociale. LA croissance a ralenti avec 5,3 % par rapport à 6,6 % en 2013. Les bénéficiaires du RSA ont moins augmenté en 2014 avec 5,8 % par rapport à 7,2 % en 2013.
Les prestations sont un fait social par lequel l’état et la sécurité social verse de l’argent pour venir en aide dans le besoin. C’est surtout pour réduire les inégalités des individus dans une société. Dans chaque société il y a une certaine part de pauvres et de riches. Les riches disposent d’avantages et de revenus élevés qui leur permette de ne pas craindre les risques auxquels les pauvres ne bénéficient pas forcement donc l’objectif des prestations et de permettre aux familles de moins être exposer aux risques sans que cela les appauvrissent encore plus. Cette situation touche surtout les chômeurs, les personnes âges les parents monoparentaux ainsi que les « working poor ». Ce sont ceux qui également gagnent les plus faibles revenues par rapport aux riches. Les chômeurs et les personnes âges ne travaillent pas donc ils ne gagnent quasiment rien pour survivre. La mise en place des prestations leur permet de plus facilement prendre en charge leurs dépenses. Comme par exemple les allocations chômage, les allocations familiales ainsi que les assurances maladies.  Cela permet également à la personne âges de ne plus pas avoir besoin de travailler après leur retraite même si ce n’est pas forcément le cas pour tous les retraites. Comme on l’a vu dans l’article il y a une baisse de l’augmentation des prestations. Ce qui signifie que moins de personnes en France ont la chance de bénéficier de ces aides car chaque année de plus en plus de personnes les nécessitent. Comme dit les working poor qui sont des personnes qui travaillent à temps plein mais qui gagnent moins de 20 000 $ par année. La part de pauvres qui travaillent mais qui restent quand même pauvres augmentent d’années en années. Donc grâce à ces prestations sociales ils ne sont pas obliger de se forcer au travail car ils auront accès à des aides pour tout. En même temps la baisse de l’augmentation des prestations oblige les personnes à travailler. Ils y en auront moins qui pourront profiter du système. Avec toutes ces prestations les individus ont tendance à en profiter et ne pas forcement chercher de travail car avec un travail leur revenu annuel sera quasiment équivalent a ceux qu’ils gagnent sans travailler ou bien en travaillant au noir. Donc ils auront tendance a toujours bénéficier des prestations sociaux au lieu de se remettre sur le marché du travail.
Ce qui montre que il y a du bon et du mal a l’augmentation moins rapide des prestations sociales.

Lien vers l’article : http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/11/10/maladie-emploi-logement-le-point-sur-le-poids-des-prestations-sociales_4806791_3224.html

Tarryll pandaure

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