L’article
« Maladie, vieillesse, emploi… des prestations sociales en hausse » a
été rédigé sur le monde le 10 novembre. Dans ce texte l’auteur démontre que par
rapport aux années précédentes il y a une progression inferieure par rapport
aux années précédentes. Entre 2010 et 2013 il y avait une augmentation de la
part des prestations entre 3 et 3,3% alors que selon les données provisoires
l’augmentation depuis 2013 serait seulement de 2,5%.
Ensuite ils nous démontrent
l’augmentation des prestations pour les grandes catégories de risques : Au
niveau de la maladie il y aurait eu une augmentation de 2,8% alors qu’en 2013
elle était inferieur avec 2,6%. Avec le recul de l’Age du passage à la retraite
elles seraient passées à 4% par rapport à 3,5 % en 2013. Au niveau des
accidents du travail et des maladies professionnelles les prestations avaient augmenté
de 1,7 % alors qu’il y avait que 0,2 % d’augmentation en 2013. Cette
augmentation est due à une revalorisation de 0,8% annuelle des prestations pour
l’incapacité.
Alors que la vieillesse
a connu une augmentation inférieure à celle de 2013. Avec 2,3 % par rapport à
3,1 ce qui est du à la reforme de retraite. Vu que il y a moins de départ à la
retraite l’état est donc moins obliger d’investir dans les prestations sociales
de vieillesse-survie surtout celle qui représente 46% sur l’ensemble des
prestations sociales. Les pensions sont également moins revaloriser.
Une autre prestation
qui cognait une hausse inferieure est celle de la maternité avec des
prestations augmentant de 1,3% alors qu’elles avaient augmenté de 2% en 2013.
Ce qui est du à la faible augmentation du nombre de naissances et à cause de la
faible augmentation de la base mensuelle de calcul des allocations familiales
il y a une augmentation moindre des prestations pour la famille. Pour l’emploi
les prestations a également moins augmenter avec 2,4% par rapport à 2013 à
cause des chômeurs de plus en plus indemnises et des nouvelles dispositions par
rapport à l’assurance chômage.
Pour le logement il y
a également une baisse de la croissance de
2 % par rapport à 3,6% en 2013. Puis pour finir par rapport à la pauvreté
exclusion sociale. LA croissance a ralenti avec 5,3 % par rapport à 6,6 % en
2013. Les bénéficiaires du RSA ont moins augmenté en 2014 avec 5,8 % par
rapport à 7,2 % en 2013.
Les prestations sont
un fait social par lequel l’état et la sécurité social verse de l’argent pour
venir en aide dans le besoin. C’est surtout pour réduire les inégalités des
individus dans une société. Dans chaque société il y a une certaine part de
pauvres et de riches. Les riches disposent d’avantages et de revenus élevés qui
leur permette de ne pas craindre les risques auxquels les pauvres ne bénéficient
pas forcement donc l’objectif des prestations et de permettre aux familles de
moins être exposer aux risques sans que cela les appauvrissent
encore plus. Cette situation touche surtout les chômeurs, les personnes âges les
parents monoparentaux ainsi que les « working poor ». Ce sont ceux
qui également gagnent les plus faibles revenues par rapport aux riches. Les chômeurs et
les personnes âges ne travaillent pas donc ils ne gagnent quasiment rien pour
survivre. La mise en place des prestations leur permet de plus facilement
prendre en charge leurs dépenses. Comme par exemple les allocations chômage, les
allocations familiales ainsi que les assurances maladies. Cela permet également à la personne âges de ne
plus pas avoir besoin de travailler après leur retraite même si ce n’est pas forcément
le cas pour tous les retraites. Comme on l’a vu dans l’article il y a une
baisse de l’augmentation des prestations. Ce qui signifie que moins de
personnes en France ont la chance de bénéficier de ces aides car chaque année
de plus en plus de personnes les nécessitent. Comme dit les working poor qui
sont des personnes qui travaillent à temps plein mais qui gagnent moins de 20
000 $ par année. La part de pauvres qui travaillent mais qui restent quand même
pauvres augmentent d’années en années. Donc grâce à ces prestations sociales
ils ne sont pas obliger de se forcer au travail car ils auront accès à des
aides pour tout. En même temps la baisse de l’augmentation des prestations oblige
les personnes à travailler. Ils y en auront moins qui pourront profiter du
système. Avec toutes ces prestations les individus ont tendance à en profiter
et ne pas forcement chercher de travail car avec un travail leur revenu annuel
sera quasiment équivalent a ceux qu’ils gagnent sans travailler ou bien en
travaillant au noir. Donc ils auront tendance a toujours bénéficier des
prestations sociaux au lieu de se remettre sur le marché du travail.
Ce qui montre que il y
a du bon et du mal a l’augmentation moins rapide des prestations sociales.
Lien vers
l’article : http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/11/10/maladie-emploi-logement-le-point-sur-le-poids-des-prestations-sociales_4806791_3224.html
Tarryll pandaure
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