lundi 2 novembre 2015

Haïti-Droits humains : Pour une amélioration des conditions de travail des ouvrières

Haïti-Droits humains : Pour une amélioration des conditions de travail des ouvrières 


selon une récente étude sur les conditions des travailleurs Haïtiens dans les usines à port-au-prince. selon les calculs de l'étude, sur un échantillon de 200 femmes. Les droits des ouvrières, dans la sous-traitance, sont violés de diverses manières. Elles sont révoquée sans raison valables et très vite remplacer. Avec un salaire de 1$ us, elle arrive a peine à faire l’épicerie. 

les conditions de travail  sont totalement inacceptable. «Les conditions de travail exposent les femmes à de forts risques de maladies».La chaleur, la poussière aucune considération pour satisfaire certains besoins fondamentaux. Deux choix s'offrent à eux. Elles doivent accepter ou qui quitter, car il n'y a pas moyen de syndiquer.elles ont essayé de  manifester mais, ont été réprimées avec violence par les autorités policières et bafouées par les patrons eux-mêmes.Donc,Il est impossible de pensé à une couverture des assurances-santé. Les patrons ne respect même pas le salaire minimum. Alors que la moitié des haïtiens, vivent avec moins 2,5$ par jour.La solution serait de pour ses femmes revendiquées, mais elles ne veulent pas perdre le peu qu'elles gagnes. Les stratégies  les plus efficaces seraient d'imposer des lois des institutions. malheureusement, le gouvernement se ferme les yeux et passe à autre chose jugé plus important.  

Selon les résultats de la recherche,Malheureusement, même si «les conditions de travail méritent des changements radicaux et que les revendications devraient être nombreuses, la liberté syndicale est encore loin d’être garantie. L’enquête révèle que moins de 10% des ouvrières interrogées participent à une organisation syndicale, que certaines ne connaissent même pas ce que représente un syndicat, et que d’autres ne s’engagent pas faute de croire que les syndicats puissent apporter un changement quelconque à leur situation». il faut comprendre que se sont des femmes peu éduquer qui travail à l'usine et en grande majorité des mère de familles. elles n'ont pas le bagage nécessaire pour changer leurs situation.


Claire Stephania Joseph 
P1005647 

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