dimanche 22 novembre 2015

Compressions et réorganisation rime actuellement avec Bell Médias

Le samedi soir quand t’es avec tes chums, en famille ou avec ta blonde et tu feel relax dans ton salon pour regarder un film, une série sur une chaîne spécialisée ou encore le match d’hockey, c’est grâce a des grosses boîtes médiatiques que ton plaisir de consommateur se réalise.
La technologie actuel qui se transmet par les chaines de radios, la télévision et le net permet aux clients de répondre à leur besoins d’un samedi soir tranquille, via leur intérêt et selon les entreprises de télécommunication offertes. Par exemple, le hockey se regarde via RDS et TVA sport car ils sont en effet les deux joueurs important de la diffusion de la LNH et se partage maintenant les matchs ce qui à touche donc les cotes d’écoute chez Bell Médias.
Pour l’acheteur c’est plus ou moins important quel entreprise diffuse sont programme tant qu’il lui soit disponible, il arrive que certains se plaignent lors des changements mais ceux-ci terminent toujours par s’y conformer. Cependant, du coté des patrons des différentes chaînes ce n’est pas vécu de la même façon du tout! Effectivement, les compétiteurs dans cet univers sont féroces et les dirigeants sont constamment sous pression. Les postes des directeurs et des employés se trouve a soit être coupés ou réorganisés lorsque des chaînes se dissous ou que les concurrents achètes des stations.
Dans actualité, il circule en effet depuis quelques mois des changements majeurs dans l’industrie de Bell Médias. Dès le début de l’année 2015, cette compagnie s’est vu devoir supprimer des postes et donc licencier des cadres et travailleurs. De plus, ceux occupant encore des postes haut placé ont eux aussi été touché par les compressions. Leur description de tâche ont été manipulé et doivent assumer les activités des employé congédiés. Ayant des bureaux a Toronto et a Montréal, Bell Médias a comme objectif d’abolir 270 postes dans la capitale de la province de l’Ontario, et plus d’une centaine dans la métropole. Ces nombreux mouvements déjà enclencher depuis un an et demi dans ses effectifs du télévisuel inquiètes les employés mais aussi le syndicat. Il s’agit d’une compression très importante dans le champ de la télécommunication depuis les dix dernières années. TSN a été gravement touché et une chaîne anglophone s’est vue complètement délaisser.
Ce qui est d’autant plus étonnant c’est que la compagnie n’est pas en déclin économique. Un beau petit 183 millions de dollars de plus a été enregistré pour Bell Médias, cela expose une augmentation de 4,1 %. Cette restructuration permet de diminuer les effectifs tout en ne nuisant pas  à l’économie de cette société canadienne de télécommunication ce qui leur est avantageux aux détriments des travailleurs bien sur !
Dans les sociétés moderne dans laquelle l’individu évoluent que se soit la technologie, la concurrence et les nouvelles formes d’organisation au travail, tous ces éléments sont en continuel transformation. La technologie qui avance si rapidement et qui prend de plus en plus d’ampleur chez les consommateurs et dans les entreprises modifient les conditions de leurs employés. La concurrence créer par l’état à notre époque ne cesse d’augmenter, et en télécommunication il faut revoir les postes des têtes du sommet de la pyramide qui coûte trop cher à l’investisseur ou par délocalisation. La restructure de l’entreprise de Bell Médias expliqué par le porte-parole est essentielle et d’autres changements sont encore prévus prochainement.
Les emplois de nos jours ne se définissent plus par une sécurité permanente a l’épreuve de tout et les tâches a effectués sont souvent variables. De plus, les charges sont de plus en plus lourdes sans pour autant être profitable pour le travailleur. Même les personnes qui occupe les plus gros titres n’ont plus des conditions assurées mais font eux aussi face à des emplois précaires. En septembre dernier, 6 supérieurs ont perdus leur jobs et l’on remplacé par un nouveau vice président dans cette société en télécommunication. On peut bien voir que ce ne sont pas que les petits maillons de la chaîne qui sont affectés aujourd’hui dans les compagnies. L’économie est le mot d’ordre pour les entrepreneurs et compressions est le pion dirigeants des emplois devenus incertains.

Les coupures et transformation dans le monde du travail sont de plus en plus fréquentes dans la société qui nous entoure. Le fait de regarder un match à la télévision pour un consommateur dans son salon se cache pourtant derrière cela un monde immense ou le travail se redéfini constamment et ou l’instabilité et concurrence domine. 

http://www.tvanouvelles.ca/2015/11/19/mises-a-pied-chez-rds

Stéphanie Olivier

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