jeudi 12 décembre 2013

Quand travail rime avec danger

Depuis plusieurs années, nous citoyen ou medias, observons et critiquons chaque erreur que le corps policier peut commettre. Cependant, dans la plupart des cas, nous ne pouvons pas dire ce qui s’est exactement passé avant que l’erreur soit commisse. Dans un article publier dans le journal la Presse, Mathieu, un policier de la SPVM, nous exprime ses peurs lorsqu’il rentre pour son quart de travail.

Il commence son article en expliquant, « quand un policier pense que sa vie ou celle d’une autre personne est menacée et qu’il n’a pas d’autre possibilité, il doit tirer. » Très souvent, nous entendons aux nouvelles qu’un citoyen à été blessé ou tuer par un policier, sans vraiment savoir ce qui c’est passé juste avant. Nous pouvons prendre en exemple, le cas de Fredy Villanueva, ce jeune homme de 18 ans, qui a trouvé la mort lors d’une intervention policière. Certain affirme qu’il était armé et menacé les policiers, d’autre, affirme plutôt qu’il était entrain de jouer avec ses amis quand les policiers sont venu l’interpeler et croyant avoir vu une arme, lui on tirer dessus. Alors qui croire vraiment dans toute cette histoire, les témoins protégeant M. Villanueva ou les policiers qui affirment s’être défendu. Nous entendons donc des critiques sans vraiment en connaitre l’histoire.

Mais pourquoi donc utiliser l’arme à feu au lieu d’utiliser des armes intermédiaires. Mathieu nous explique dans son article que le SPVM dispose que de quatre Tasers pour chaque quart de travail et que se sont les agents des unités d’intervention qui les ont. Cependant, avant de leur demander de toujours les utiliser, il faut se rappeler, qu’il y a quelques années, il y a eu un mort lorsqu’un policier l’avait utilisé et qu’il avait était largement critiqué par la population. Nous arrivons donc à nous demander si les policiers sont bien préparer pour bien accomplir leur métier.

Lors de leur formation, les policiers suivent une technique de trois ans au cégep, quinze semaines à l’école nationale de police du Québec. Finalement, dans le but de pouvoir pratiquer le métier, ils doivent réussir leurs tests de tirs, de conduite, de maîtrise d’un individu violent et des mises de situation sur le travail de policier. Nous pouvons donc dire, que nos policiers reçoivent une des meilleures formations au monde pour pouvoir nous protéger.

Alors, s’ils ont une si bonne formation, pourquoi arrive-t-il des accidents comme la mort de Villanueva? Les rues de Montréal grouillent de gens qui, selon Mathieu, ne devraient pas  y être. On y retrouve des individus les plus fragiles de la société dont les itinérants, des membres du Black Bloc, des prostituées, des gangs de rue, des motards, des agresseurs sexuels et des malades mentaux. Alors, lorsqu’ils se retrouvent devant un danger, alors qu’il on peur de mourir, ils se retrouvent dans l’effet tunnel, et ne voient que le danger sans rien voir d’autre.


Nos policiers travaillent donc, jours après jours, dans le danger pour les autres et pour leurs propres vie. Mathieu fini son articles en disant : « Mon but est de rentrer au travail et d’en sortir vivant. Tout le monde à le droit à la vie. »

Cindy Carolina Marin Corrales
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