Quand travail rime avec danger
Depuis plusieurs années, nous citoyen ou medias, observons
et critiquons chaque erreur que le corps policier peut commettre. Cependant,
dans la plupart des cas, nous ne pouvons pas dire ce qui s’est exactement passé
avant que l’erreur soit commisse. Dans un article publier dans le journal la
Presse, Mathieu, un policier de la SPVM, nous exprime ses peurs lorsqu’il
rentre pour son quart de travail.
Il commence son article en expliquant, « quand un
policier pense que sa vie ou celle d’une autre personne est menacée et qu’il n’a
pas d’autre possibilité, il doit tirer. » Très souvent, nous entendons aux
nouvelles qu’un citoyen à été blessé ou tuer par un policier, sans vraiment
savoir ce qui c’est passé juste avant. Nous pouvons prendre en exemple, le cas
de Fredy Villanueva, ce jeune homme de 18 ans, qui a trouvé la mort lors d’une
intervention policière. Certain affirme qu’il était armé et menacé les
policiers, d’autre, affirme plutôt qu’il était entrain de jouer avec ses amis
quand les policiers sont venu l’interpeler et croyant avoir vu une arme, lui on
tirer dessus. Alors qui croire vraiment dans toute cette histoire, les témoins
protégeant M. Villanueva ou les policiers qui affirment s’être défendu. Nous
entendons donc des critiques sans vraiment en connaitre l’histoire.
Mais pourquoi donc utiliser l’arme à feu au lieu d’utiliser
des armes intermédiaires. Mathieu nous explique dans son article que le SPVM
dispose que de quatre Tasers pour
chaque quart de travail et que se sont les agents des unités d’intervention qui
les ont. Cependant, avant de leur demander de toujours les utiliser, il faut se
rappeler, qu’il y a quelques années, il y a eu un mort lorsqu’un policier l’avait
utilisé et qu’il avait était largement critiqué par la population. Nous
arrivons donc à nous demander si les policiers sont bien préparer pour bien
accomplir leur métier.
Lors de leur formation, les policiers suivent une technique
de trois ans au cégep, quinze semaines à l’école nationale de police du Québec.
Finalement, dans le but de pouvoir pratiquer le métier, ils doivent réussir
leurs tests de tirs, de conduite, de maîtrise d’un individu violent et des mises
de situation sur le travail de policier. Nous pouvons donc dire, que nos
policiers reçoivent une des meilleures formations au monde pour pouvoir nous
protéger.
Alors, s’ils ont une si bonne formation, pourquoi
arrive-t-il des accidents comme la mort de Villanueva? Les rues de Montréal
grouillent de gens qui, selon Mathieu, ne devraient pas y être. On y retrouve des individus les plus
fragiles de la société dont les itinérants, des membres du Black Bloc, des
prostituées, des gangs de rue, des motards, des agresseurs sexuels et des
malades mentaux. Alors, lorsqu’ils se retrouvent devant un danger, alors qu’il
on peur de mourir, ils se retrouvent dans l’effet tunnel, et ne voient que le
danger sans rien voir d’autre.
Nos policiers travaillent donc, jours après jours, dans le
danger pour les autres et pour leurs propres vie. Mathieu fini son articles en
disant : « Mon but est de rentrer au travail et d’en sortir vivant.
Tout le monde à le droit à la vie. »
Cindy Carolina Marin Corrales
MARC29588901
Cindy Carolina Marin Corrales
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