Tout d’abord, les
personnes qui font une demande d’aide, à l’assurance-emploi, sont plus ou moins
50 % à être refusées, la première
fois. D’autant plus, que ce refus n’est pas justifié, ni expliqué à ces derniers.
C’est la raison pour laquelle, ils doivent, par la suite, refaire une demande
administrative et bureaucratique au bureau du gouvernement de cette assurance.
C’est afin de savoir, s’ils ont doit ou non à du chômage, malgré le fait qu’ils
ont contribué tout au long de leur période de leur travail. Les individus, qui
se voient refuser, ne sont pas en mesure d’avoir des explications claires sur
leur demande, en raison du nouveau mode de fonctionnement à cause du nouveau
mode de gérance du gouvernement Happer. Les politiques afin d’obtenir cette
assurance se sont vues restreintes. Grâce à cette révélation, plus de 42 %
des demandeurs se sont vus autoriser, par la suite, l'aide à l'assurance chômage.
D’ailleurs, les
personnes qui se voient refuser à l’accès à cette assurance emploi sont des
personnes issues des minorités, telles que les autochtones, les nouveaux
contributeurs et les jeunes. Or, il est plus facile pour une personne ayant
commis une faute grave d’y avoir accès, qu’une personne ayant travaillé pendant
plusieurs années dans un emploi fixe (temporairement ou à temps plein). C’est
par une revendication de la part de Madame Sylvie Terrien, qui a fait connaitre
un rapport interne dans les médias sociaux, qu’il a été possible de voir les
statistiques et les problématiques à l’interne sur la gérance des demandes de l’assurance
emploi. Les raisons qui ont motivé le gouvernement à restreindre l’accès à l’assurance
emploi sont afin de réduire l’intervention de l’État dans la vie des
contribuables. Cette politique sociale, qui est subventionné par les
travailleurs et les employeurs a, pour finalité, d’aider les travailleurs, qui
perde leur emploie.
Toutefois, les mesures gouvernementales font en sorte que
les travailleurs doivent passer sous un comité de sélection, qui ne leur
explique pas les raisons de leurs refus d’aide. D’autant plus que les demandes
de révision sont longues. Les coupures dans l’assurance emploi engendrent une
réticence de la part de l’État vis-à-vis les demandeurs. C’est la raison pour
laquelle, il est même difficile de faire une demande de révision. Les revendications
juridiques de la part des travailleurs face à un juge se font par conférence et
non pas en personne. Les individus n’ont aucun moyen de plaider ou encore de s’exprimer
sur leur refus. Le gouvernement tient à maintenir sous silence les travailleurs
tout en empêchant ceux-ci à avoir accès à une quelconque aide sociale, à
laquelle ils ont contribués.
Les répressions budgétaires dans l’assurance-emploi,
du gouvernement conservateur, tiennent à faire une idéalisation libérale de
cette dernière. Il est possible de le voir sur l’accessibilité de cette
dernière qui vise à restreindre l’accès, tout en accroissant les inégalités au
sein de la société canadienne. D’autant plus que le renvoi de Sylvie Terrien
illustre une déshumanisation du travail de la part du gouvernement. Encore,
cette bureaucratisation est la mise au grand jour du déchirement entre les
travailleurs et les employeurs. Toutefois, une forme de solidarité sociale est
présente suite à son renvoie, où des personnes, afin de la remercier d’avoir dénoncé
à visage découvert, cette problématique d’accès; ils ont pris ensemble la
décision de l’aider afin de l’aider à avoir encore son salaire annuel. En somme, les réductions dans le budget pour
l'accès à l’aide de l’assurance-emploi valorisent le silence des citoyens
travailleurs tout en ne leur permettant pas de s’exprimer avec un conseiller en
personne. Or, le gouvernement fait également de l’inégalité sélective, qui vise
principalement les minorités sociales.
Écrit par Audréane Guillemette
SANSFAÇON,
Jean-Robert, « Assurance-emploi :Des chiffres qui parlent »,Le
Devoir, [En Ligne],5 Décembre
2013, http://www.ledevoir.com/politique/canada/394366/des-chiffres-qui-parlent
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