Emplois à l’ abri de la violence?
En lisant un article paru dans La Presse, je me suis rendue compte qu’on ne connaît pas assez d’un métier. On a
toujours des idées fondées sur un emploi quelconque, mais on ne connait pas
nécessairement ce que les travailleurs peuvent vivre, subir et supporter dans
leur propre milieu de travail. On ne connait pas également les dangers auxquels
ils sont exposés, plus précisément dans le domaine de tertiarisation. On croît
que ceux qui travaillent dans ce domaine ne subissent pas de violence de la
part des clients ou des ses clients par exemple « les infirmières, les
gestionnaires, […] les secrétaires, les réceptionnistes »[1].
On pense aussi, en tant que travailleurs, qu’on est en sécurité dans notre propre milieu de travail. On
suppose que ces travailleurs ne risquent rien et on a une image totalement à
l’opposé du danger.
Une étude
élaborée par La Presse vient
confirmer qu’il existe effectivement de la violence auprès de ces travailleurs
mentionnés. Le résultat est de 80% des employés travaillant dans le domaine de
la santé et des services d’administrations. « Plus les gens sont en
contact avec le public, plus il y a de la violence. »[2]
Les chauffeurs d’ autobus subissent également de la violence, mais ils ne sont
pas les premiers à en avoir autant que les travailleurs professionnels de la
santé par exemple. Ce qui vient nous confondre l’ esprit. On pense toujours que
c’est soit les chauffeurs d’autobus ou les policiers qui sont le plus exposés à
risque, mais avec cette étude, elle nous montre parfaitement le contraire.
La
violence se fait de manière extrêmement agressive soit verbalement ou physiquement.
Cet article aborde des exemples comme des « morsures, les griffures, les
crachats et les insultes. »[3]
Selon un cas précis, une infirmière avait failli être étranglée par un
patient.
Lamentablement,
ceux-ci sont exposés à la violence de façon entièrement gratuite. L’ étude
indique que les victimes sont atteintes d’irritabilité et de troubles de
sommeil.
La cause
de cette violence accrue est le fait que les clients attendent davantage pour
se faire servir/ avoir un service.
À cet
effet, l’ exposition de risque chez ces travailleurs pourraient sans aucun
doute conduire au stress, à l’anxiété voire même à la dépression chez certains
des travailleurs. Comme il a été informé dans le texte à l’ étude d’Argenson. Il
aborde la question de la souffrance au travail. Il distingue la souffrance des
employés d’avant et celle d’ aujourd’hui. Il y a de nouvelles formes de
souffrance qui ont produit le domaine de la tertiarisation. On peut voir que
les victimes présentes des symptômes comme des troubles de sommeil.
Duchaine,
Gabrielle, « Milieu de la santé : dangeureux, le travail? », La Presse, [en
ligne]. 5 décembre 2013, http://www.lapresse.ca/actualites/sante/201312/04/01-4717742-dangereux-le-travail.php
[page consulté le 5 décembre
2013].
Stéphanie
Opazo
[1] Duchaine,
Gabrielle, « Milieu de la santé : dangeureux, le travail? », La Presse, [en
ligne]. 5 décembre 2013, http://www.lapresse.ca/actualites/sante/201312/04/01-4717742-dangereux-le-travail.php
[page consulté le 5 décembre
2013].
[2] (Ibid.)
[3] (Ibid.)
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