Partout en Europe la qualité de
l’emploie se dégrade. Depuis 10 ans, on a pu observer une chute de 7,7% (selon
une étude menée par l’institut Allemande IAB) (1) des embauches avec un contrat
a duré indéterminé (CDI). Cependant le contexte de crise actuelle donne une
excuse aux gouvernants qui sont sous pression, en effet ils sont plus
préoccupés a faire augmenter le taux d emploi que de s occuper de la qualité
des conditions de travail des employés. D après l IAB, le nombre de personnes trouvant
un CDI après une période de chômage a baissé de 14% en Italie en dix ans, en
Hongrie de 15% et en République Tchèque de 27%.
Depuis les années 2000 on peut voir une augmentation des
nouveaux contrats : « les contrats de projet, les contrats
intermittents et les prestations de service font désormais leur
apparition » (2). Ce dernier n accorde pas de protection sociale a ses
employés.
Aujourd’hui on peut voir près d un jeune italien sur deux avec un
emploi précaire. En 2003, Gerhard Schröder a introduit le terme de
« mini-jobs », ce sont des travails ou le salaire est de 400 euros,
ou les employés ne paient pas d impôts, travaillent environ 15 heures par
semaines et ne bénéficient pas de charges sociales. On peut voir ce genre d
emploi dans les abattoirs notamment. Aujourd’hui
7,3 millions (3) de personnes en Europe pratiquent un « mini-jobs »,
et plus d un tiers est obligé de pratiquer un second emploi pour pouvoir
acquérir le minimum vital et faire vivre une famille. L’Angleterre a crée les
« contrats zéro », ce contrat ne garantit aucune horaire, donc l employeur
décide généralement le jour même si le salarié doit venir ou non travailler, et
il ne garanti pas non plus de salaire minimum.
Pour conclure, les emplois dit atypiques augmentent énormément
en Europe, surtout notamment dans les pays ou la courbe du chômage monte en
flèche dut a la crise économique comme le Portugal et l Espagne par
exemple :les gouvernements décident donc d’augmenter la flexibilité du marché
de l emploi ce qui permet la création de nouveaux différents types de contrats
et l’essor du travail précaire .
Camille QUITZKE
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