Le
syndrome de Burn-out est désormais reconnue comme maladie du
travail. Cependant, il a fallu du long temps (et peut-être aussi des
suicides – comme dans le cas de Telecom en France) pour que les
employeurs aient compris que leur salarié(e)s étaient stressé(e)s
à cause de conditions du travail. Quelles sont donc ces conditions
qui ont porté à l’augmentation des problèmes psychologiques? La
précarité du travail, la peur de perdre le poste, la compétition
entre employé(e)s, le sensation d’être obligé d’évoluer, la
pression de la socialisation pour être accepté(e)s sur le lieu du
travail et la demande des taches de plus en plus compliquées à
accomplir dans de temps réduits sont les causes citées dans
l’article1
et les plus partagées aussi par l’opinion publique.
Du
temps est passé de la reconnaissance du syndrome au traitement du
problème. Aujourd’hui le conseil psychologique est normalement
offert aux employeur(e)s sujet(e)s à burn-out et de permis spéciaux
peuvent être offerts pour faire face à l’absentéisme montant,
mais aussi certaines entreprises proposent de tests et contrôles
psychologique pour la prévention et de séance pour informer les
employé(e)s. Enfin, de cours de formation sont dédiés aux managers
pour apprendre comment créer une ambiance de travail qui empêchent
tout d’abord le développement du syndrome2.
Pourtant,
selon les dernières
chroniques des
journaux le syndrome de Burn-out
semble avoir maintenant un copain nommé syndrome de Bore-out.
En effet, ce syndrome à été reconnue déjà en 2007 par des
conseillers en affaire
suisses et a été
définie comme « l’ennuie au bureau » - du
mots anglais boredom pour
ennuie3.
François Baumann, médecin généraliste
intéressé par toutes les dimensions des sciences humaines et
sociales qui participent à une meilleure santé des hommes,
enseignant à l’Université Paris V et membre du comité
Scientifique International de l’UNESCO (département de Bioéthique)
y a aussi dédié un livre : Le
Bore-out. Quand l’ennui au travail rend malade (Josette Lyon,
2016)4.
Mais qu’est-ce
que définit le Bore-out? Ce syndrome est
décrit comme un sentiment d’inutilité, un attaque à l’estime
de soit, un sous-charge de travail et des défis professionnels qui
ennuie, porte à la perte de motivation, et enfin à la dépression.
Brièvement, si les conséquences restent proches à celles du
Burn-out, les causes sont exactement les contraires5.
L’événement
qui a fait avancer cette pensée dans l’opinion publique a été un
cas singulier d’un employé français qui a demandé à son patron
une indemnisation de 360.000€ (532.080 CAD)
puisque il souffrait du Bore-out. Son accuse? La honte qu’il
sentait pour être payé pour rien faire qui lui a causait une forte
dépression6.
Le montant demandé, en plus, devrait compenser aussi pour la manque
de promotion pendant la période d’embauche causé par la manque
des taches exigeante à accomplir. La
raison pour laquelle l’employé en question n’a pas cherchait un
autre travail serait enfin les risques qui caractérisent le marché
du travail maintenant en France, et qui
empêchent aux jeunes, pour crainte de rester au chômage, de changer
du travail.
Le
verdict est à devenir, mais il est déjà
possible de commenter le fait. Loin d’être sceptique – en se
demandant comment l’ennuie peut être si forte pour rendre
malade – ou banale – en considérant
que tout le monde voudrait gagner de l’argent sans rien faire,
l’article de Le Monde (1) explique
pourquoi ce syndrome n’est pas si absurde comme on pourrait
imaginer d’une première lecture. Depuis l’enfance les élèves
reçoivent des taches très complexes à résoudre pour developer une
mentalité ouverte, prône à affronter tous défis de la société.
Cependant, une fois les étudiants sortent de l’école supérieure
ou de l’université ils trouvent un marché qui leur offre deux
option (quand les deux sont disponibles): soit un travail très
compétitif ou il faut absolument s’améliorer chaque jour et
surtout ne pas se tromper; soit un travail très simple, « comme
un robot », dans des endroit ou l’employé(e) n’est que son
numéro de badge, facile à échanger. De
cette façon, il devient donc plus facile à comprendre pourquoi le
Bore-out peut être une réalité aussi et à ne pas mépriser.
Giulia Camparsi
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