dimanche 23 septembre 2018

Un point fort pour les entreprises.

La compétitivité devient de plus en plus importante entre les entreprises. Elles doivent réussir à trouver des moyens pour prévenir les problèmes tout en restant productif.

   Dans les années 1780, la mécanisation à l’aide des machines à vapeur est instauré avec la première révolution industrielle, puis vient plus de 100 ans plus tard l’arrivé de l’électrification introduit de nouveaux moyens de productions tel que celle de masse grâce aux chaînes de montages. En 1980 se développe la mondialisation qui se caractérise par le transfère de la production vers les pays du Sud, pour une réduction des coûts. Toutes ces modifications ont fait passés le but de la production de biens de la qualité à la quantité et les machines y répondent parfaitement, elles peuvent travailler longtemps et plus rapidement que l’homme. 

   L’un des problèmes de ces avancés sont le remplacement des salariés par la machine et pour parvenir à rester sur les marché, ils devront constamment s’actualiser et rester performants.

Néanmoins, l’arrivée des machines et de la nouvelle technologie dans une entreprise n’apporte pas que des points négatifs.

   D’après un article parue dans La presse, plusieurs entreprises ont décidés de pallier leur manque de personnels par l’utilisation de nouvelles technologies. L’entreprise Les Bois de plancher PG, se voit confronté à un problème de taille au niveau de l’embauche des salariés, le directeur des ressources humaines Mr Faucher explique que les postes qu’ils proposent sont majoritairement de nuit et que les employés n’y restent pas longtemps. Selon lui, « Toutes les entreprises de la région recherchent des employés. Dès qu'un poste de jour s'ouvre ailleurs, les gens changent d'emploi. » De plus, la qualification entraîne une hausse des salaires par les futurs employés. « Sans compter que les jeunes qui viennent de finir leur DEP demandent des salaires beaucoup plus élevés qu'il y a trois ans. » L’entreprise a donc pris la décision de revoir toute sa politique salariale en augmentant les avantages tel que les primes ou les droits aux vacances, mais aussi l’utilisation d’un “réseau social” ( POKA ) propre à l’entreprise dans le but d’augmenter l’idée d’appartenance des salariés. Avec cela, ils ont remarqué une forte hausse de la productivité en augmentant l’efficacité de la main d’oeuvre. 

   C’est le développement de l’industrie 4.0. Elle se définie par le mise en place d’une nouvelle organisation des moyens de production grâce à la récolter les données et la connexion des différents systèmes ( chaînes de production, d’expédition, de livraison … ) à l’aide de logiciels de gestions dans le but de faciliter la circulation de l’informations. Ce qui permet d’éviter les conflits et d’augmenter l’appartenance au groupe, de synchroniser les systèmes de productions mais aussi de prévoir les coûts (les pertes et bénéfices de l’entreprise) dans le cadre de la mise en place de plans stratégiques et/ou opérationnels. 

   Selon BDC, le ticket gagnant est la combinaison entre robotique et numérisation et l’utilisation de ces nouveaux programmes et logiciels devrait augmenter la demande dans certains corps de métier, créant de nouveaux emplois et de nouveaux secteurs de recherches ( environ 130 millions ). Mais selon une étude du WEF ( world economic forum ) il y aura d’ici 2020 plus de 75 millions d’emplois de perdu à cause de la robotisation. Il faudra alors mettre en place des programmes de formations des employés. 

Mais sera-t-il possible pour tout le monde de retourner dans ce « nouveau » marché du travail ?

Par Lou-Ann Deschamps.






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