« Malgré 30 ans de promesses, les
inégalités salariales persistent dans la fonction publique canadienne. »
En effet, c’est l’ancien premier ministre John Turner qui avait promis en 1984
une équité salariale aux employés appartenant à la fonction fédéral. Les femmes
n’ont jamais été au même niveau que les hommes quelque soient le domaine dans
lequel elles travaillent. Dès lors que la femme est arrivée sur le marché du
travail, elle n’a jamais été assignée à la même tache que l’homme ou bien vu
comme une entité égale a celle de l’homme.
Quelque chiffre peut être nécessaire pour
comprendre l’inégalité salariale. L’institut Statistique du Québec (ISQ)[1] a mis en avant les
différences des travailleurs dans diffèrent secteurs d’emplois au travers le
revenu salarial. Dans le domaine fédéral quand un homme touche 1$, la femme
touche 90cents, dans la fonction publique si un fonctionnaire homme gagne 1$,
la femme gagnera 98 cents, dans le domaine universitaire un homme gagne 1$, une
employé femme 77 cents pour le même emploi. On pourrait encore continuer et
énumérer tout les domaines d’emplois qui puisse exister, la femme sera toujours
inférieure à l’homme.
La situation des femmes inégalitaire des femmes
est omniprésente sur la terre. De l’autre côté de l’océan, en Europe les femmes
gagneraient 16,2 % de moins que les hommes (selon Eurostat). En France, un
mouvement pour l’obtention de l’équité salarial c’est mis en place, Les
Glorieuses. Dans un article consacrer a Francetvinfo, le mouvement suggère
trois propositions pour l’égalité. La première « un congé paternité
équivalent au congé maternité",
la seconde "une transparence des salaires" et enfin "un certificat d'égalité
obligatoire », même il a été dit dans la lois
française de 1972 que les hommes et les femmes sont égaux ces inégalités persistent
et ne cesse de grandir, même si certaines sanctions ont été mis en place,
celles-ci ne sont selon certains syndicat respecté par 0,2% des entreprises.
Une perte pour l’économie
française ?
Selon LeFigaro, l’inégalité
salariale entre les hommes et les femmes ferait perdre 62 milliards d’euro pour
l’économie française[2]. En effet l’état
pourrait gagner une recette de 33,7 milliards d’euro de plus en augmentant la
TVA, les impôts sur les revenus et les cotisations sociales et patronale ainsi
permettant une économie croissante et une place égalitaire de la femme au sein
du monde du travail. Mais ce n’est pas tout, toujours selon la Fondation
Concorde, la supprimassions des inégalités salariale engendrerais une hausse de
21,98 milliards d’euro uniquement au niveau de la consommation.
La situation au Canada ?
Selon la presse canadienne,
L’Actualité, le Gouvernement de Justin Trudeau aurait déposé un projet de loi qui concernerait l’équité
salariale dans les milieux de travail publics ou privés. Le projet de loi prendrait
place dans toute les organisations ayant 10 employés ou plus. Elle sera
applicable un an après son adoption et n’aura aucune sanction mais obligerait
les employeurs de la fonction publique fédéral, ou encore les milieux de
travail parlementaires, le ministère, les secteurs privé tel que les banques,
les transports ou bien le secteur de la communication à établir un « programme d’équité salariale dans
les trois ans suivant son entrée en vigueur » mais ce n’est pas tout, les
employeurs devront aussi par la suite catégoriser leur déférentes catégories
d’emplois pour par la suite évaluer et comparer le travail accomplis avec les
rémunération qui y sont associés respectivement par des hommes et par des
femmes occupant des emplois similaires.
Ces inégalité
hommes/femmes nous ramène à un texte que nous avons eu pour lecture obligatoire
dans le cours de sociologie du travail, un texte de Voltairine de Cleyre une
grande féministe de l’époque qui a dit que
« C’est un viol quand un homme s’impose sexuellement à une femme,
qu’il ait l’autorisation de la loi sur le mariage ou non ». Pour elle, la
femme est inférieur à l’homme pas a cause d’elle a proprement parler ou du
manque d’éducation non , mais a cause de la société qui confine la femme dans
une rôle qui est uniquement voué a la reproduction. Pour De Cleyre, il est très
important d’intégrer les rapports sociaux de genre et de comprendre le travail
domestique dans la sphère de la reproduction avant même de voir une inégalité
homme/femme dans la sphère du travail.
Qu’est ce qui
pourrait expliquer les écarts entre les salaires ?
Les femmes travail
le plus souvent a temps partiel mais pourquoi ? Et bien pour la bonne
raison qu’elles n’ont pas le choix et qu’elles peuvent difficilement choisir.
En effet elles sont d’abord orienté par discrimination dans leur milieu du
travail car il y une ségrégation de celui-ci vis a vus de la femme et de ses
compétences qu’on sous évalue bien trop souvent. Et en second lieu, elle n’ont
pas d’autre choix que de travail a temps partiel car dans la société mais aussi
dans le ménage il y a une mauvaise répartition des taches domestiques, c’est a
dire que la femme en travail a mi-temps s’occupe du foyer durant son «
temps-libre », un lien qu’on peut faire facilement avec l’héritage qu’elle
possède des génération précédente où la femme n’avait aucune place sur le
marché du travail et rester à la maison pour prendre soins de l’homme et de son
foyer.
«Nous avons fait
d’importants progrès jusqu’à maintenant, mais ce n’est pas assez. Nous devons
en faire plus» Scott Brison, responsable de la fonction publique.
Par Charlotte Gach
Citographie :
Bibliographie :
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