Les conflits du travail
Selon
l’article, «Des conflits du travail à la sociologie des mobilisations :
les apports d’un décloisonnement empirique et théorique» écrit par Baptiste Giraud, Doctorant en
science politique à l’université Paris 1Panthéeon –Sorbonne et membre du Centre
de Recherche Politique de la Sorbonne (CRPS). Les conflits du travail, serai un
objet d’études qui a été longtemps abandonné, par l’analyse sociologique. Pour
être plus précis, cet objet d’étude aurait été délaissé depuis ces deux
dernières décennies. Durant ces deux dernières décennies, la sociologie c’est
plus intéressé sur des sujet comme la description du travail comme activité ou sur la l’évolution des systèmes
productif et des normes d’emploi. Toutefois, la plupart des travaux sur le
syndicalisme, se sont concentrée sur les mobilisations collectives. Puis la majorité
des recherches sur les mobilisations collectives se sont concentré sur les
actions protestataires, se développant en dehors des rapports sociaux du
travail. Elles sont observée quelques grèves importantes du secteur public. Par
exemple, la grève des cheminots en 1986
et 1995, des infirmières en 1988, des enseignants en 2003 etc… Selon l’auteur,
les confits du travail, tourne toujours autour des même enjeux, (salariales et
conditions de travail). Puis la plupart du temps, ces enjeux amènes
l’apparition de grèves courtes, ou d’actions sans arrêt de travail, par exemple
des manifestations, des pétitions ou des refus des d’heures supplémentaires. Le
but principal des études sur les conflits du travail, c’est de comprendre l’apparition
et les cause des mobilisations collectives. Cet article nous apprends aussi que
l’apparition des grèves, dépends aussi des cycles économiques. Selon, certaines
recherche, une croissance économiques pousserai les employées à grever, plus
l’économie va bien, plus ils peuvent en tirer avantage pour améliorer leurs
conditions de travail. Cependant, dans un cas inverse, si le pays se trouve
dans une phase de récession économique, le taux de grèves diminuera. Un recours
à la grève serai trop risquée pour les employées, car ils risqueront de perdes
leurs emplois dans une telle situation économiques. Par contre l’auteur affirme
aussi que les grèves ne sont pas toujours liées aux cycles économiques, d’autres
recherches démontrent que certains employés se font de leurs environnements
économiques. Leurs conditions de travail, et leurs problèmes de salaires et
beaucoup plus importants et motivant, que les risques de pertes d’emplois. On apprend
aussi que dans les pays où les systèmes de négociations collectives sont centralisés,
ou le taux de syndicalisation sont très élevé comme l’Allemagne par exemple, en
retrouve moins de grèves, mais leurs grèves ont plus d’impacts et elles sont
plus mobilisatrices. Par contre, dans les pays où le système de négociation est
décentralisée et le taux de syndicalisme est plus faible, comme la France par
exemple, les grèves ont tendance à être plus nombreuse, mais moins
mobilisatrice. Toute fois certaines études démontrent que la fréquence d’apparition des grèves a souvent été liée au
degré d’implantation des syndicales dans les établissements.
Maintenant si nous regardons ce
qu’on a appris en classe, selon John Locke, le père du libéralisme, le travail
est une forme de liberté. Donc nous pouvons conclure que si les travailleurs
font face à des mauvaise conditions de travail, automatiquement leur liberté
sont atteintes. Nous avons aussi appris que au 20e siècle le travail
devient le pivot du système de distribution des revenus, des droits et des
protections, donc si les salariés rencontrent des problèmes au niveau de leur
salaires et de leurs droits, c’est normale qu’on retrouve des conflits de
travail. Puis puisqu’on retrouve de nombreux conflits de travail, certains pays
n’ont pas eu le choix d’établir des systèmes de syndicalisations pour protéger
les travailleurs. En d’autres mots, ces tous ces enjeux qui ont contribué à
l’organisation de la résistance ouvrière.
Pour ma part, je pense que la
sociologie du travail, est une science qui sera toujours utile, car ils y auront
toujours des conflits de travail. Je trouve que plus les années avance, plus
les entrepreneurs deviennent égoïstes et insensible à la situation et a la dignité
de leurs employées. Les entrepreneurs de jours pensent justes à faire du profit
et s’en foutent du reste, ils ne sont pas juste insensibles aux situations de
leur employées, ils sont aussi insensible aussi à la situation de leurs environnements.
On peut voir plusieurs industries faire du profit tout en polluant notre environnent
et on détruisant nos forêts. Si sa leur dérange pas de polluer l’air de leurs
futurs enfants et de détruire nos forêts, je ne vois pas pourquoi ils se préoccuperaient
plus de leurs employées. Bien sûr il ne faut pas généraliser mais il faut quand
même prendre tout ça en considération. Heureusement maintenant nous avons de plus en plus de lois
et de règles qui protègent les employées et notre environnement, mais malheureusement
je crois quand même que les conflits du travail subsisteront toujours.
https://www.cairn.info/revue-politix-2009-2-page-13.htm
Jayson-William Ikete Bokana
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