dimanche 25 octobre 2015

Les conflits du travail
Selon l’article, «Des conflits du travail à la sociologie des mobilisations : les apports d’un décloisonnement empirique et théorique»  écrit par Baptiste Giraud, Doctorant en science politique à l’université Paris 1Panthéeon –Sorbonne et membre du Centre de Recherche Politique de la Sorbonne (CRPS). Les conflits du travail, serai un objet d’études qui a été longtemps abandonné, par l’analyse sociologique. Pour être plus précis, cet objet d’étude aurait été délaissé depuis ces deux dernières décennies. Durant ces deux dernières décennies, la sociologie c’est plus intéressé sur des sujet comme la description du travail  comme activité ou sur la l’évolution des systèmes productif et des normes d’emploi. Toutefois, la plupart des travaux sur le syndicalisme, se sont concentrée sur les mobilisations collectives. Puis la majorité des recherches sur les mobilisations collectives se sont concentré sur les actions protestataires, se développant en dehors des rapports sociaux du travail. Elles sont observée quelques grèves importantes du secteur public. Par exemple, la grève des cheminots en 1986 et 1995, des infirmières en 1988, des enseignants en 2003 etc… Selon l’auteur, les confits du travail, tourne toujours autour des même enjeux, (salariales et conditions de travail). Puis la plupart du temps, ces enjeux amènes l’apparition de grèves courtes, ou d’actions sans arrêt de travail, par exemple des manifestations, des pétitions ou des refus des d’heures supplémentaires. Le but principal des études sur les conflits du travail, c’est de comprendre l’apparition et les cause des mobilisations collectives. Cet article nous apprends aussi que l’apparition des grèves, dépends aussi des cycles économiques. Selon, certaines recherche, une croissance économiques pousserai les employées à grever, plus l’économie va bien, plus ils peuvent en tirer avantage pour améliorer leurs conditions de travail. Cependant, dans un cas inverse, si le pays se trouve dans une phase de récession économique, le taux de grèves diminuera. Un recours à la grève serai trop risquée pour les employées, car ils risqueront de perdes leurs emplois dans une telle situation économiques. Par contre l’auteur affirme aussi que les grèves ne sont pas toujours liées aux cycles économiques, d’autres recherches démontrent que certains employés se font de leurs environnements économiques. Leurs conditions de travail, et leurs problèmes de salaires et beaucoup plus importants et motivant, que les risques de pertes d’emplois. On apprend aussi que dans les pays où les systèmes de négociations collectives sont centralisés, ou le taux de syndicalisation sont très élevé comme l’Allemagne par exemple, en retrouve moins de grèves, mais leurs grèves ont plus d’impacts et elles sont plus mobilisatrices. Par contre, dans les pays où le système de négociation est décentralisée et le taux de syndicalisme est plus faible, comme la France par exemple, les grèves ont tendance à être plus nombreuse, mais moins mobilisatrice. Toute fois certaines études démontrent que la fréquence  d’apparition des grèves a souvent été liée au degré d’implantation des syndicales dans les établissements.
Maintenant si nous regardons ce qu’on a appris en classe, selon John Locke, le père du libéralisme, le travail est une forme de liberté. Donc nous pouvons conclure que si les travailleurs font face à des mauvaise conditions de travail, automatiquement leur liberté sont atteintes. Nous avons aussi appris que au 20e siècle le travail devient le pivot du système de distribution des revenus, des droits et des protections, donc si les salariés rencontrent des problèmes au niveau de leur salaires et de leurs droits, c’est normale qu’on retrouve des conflits de travail. Puis puisqu’on retrouve de nombreux conflits de travail, certains pays n’ont pas eu le choix d’établir des systèmes de syndicalisations pour protéger les travailleurs. En d’autres mots, ces tous ces enjeux qui ont contribué à l’organisation de la résistance ouvrière.
Pour ma part, je pense que la sociologie du travail, est une science qui sera toujours utile, car ils y auront toujours des conflits de travail. Je trouve que plus les années avance, plus les entrepreneurs deviennent égoïstes et insensible à la situation et a la dignité de leurs employées. Les entrepreneurs de jours pensent justes à faire du profit et s’en foutent du reste, ils ne sont pas juste insensibles aux situations de leur employées, ils sont aussi insensible aussi à la situation de leurs environnements. On peut voir plusieurs industries faire du profit tout en polluant notre environnent et on détruisant nos forêts. Si sa leur dérange pas de polluer l’air de leurs futurs enfants et de détruire nos forêts, je ne vois pas pourquoi ils se préoccuperaient plus de leurs employées. Bien sûr il ne faut pas généraliser mais il faut quand même prendre tout ça en considération. Heureusement  maintenant nous avons de plus en plus de lois et de règles qui protègent les employées et notre environnement, mais malheureusement je crois quand même que les conflits du travail subsisteront toujours.

https://www.cairn.info/revue-politix-2009-2-page-13.htm


Jayson-William Ikete Bokana

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