samedi 3 décembre 2016

Philippe Martinez : « L’ubérisation précarise les travailleurs » 
 Mon opinion portera sur une actualité bien récente publié sur le site LEMONDE.FR le 27-11-2016 dont le secrétaire général de la Confédération général des travailleurs (CGT), interrogé dans l’émission « Questions politiques » de France Inter, en partenariat avec Le Monde, Philippe Martinez, appuis son avis sur l ubérisation: qui est une tendance nouvelle de Start-up engagent des auto entrepreneur sans aucun contrat de travail et comme l affirme M.Martinez œuvrent à « une évolution dangereuse qui précarise les travailleurs » . 
Tout en décrivant que ce modèle, utilisé par certaines start-up de livraison des repas, ou par Uber avant une décision de la justice française, permet de ne pas payer un certain nombre de cotisations et prive les personnes recourant à ces services d’un certain nombre de protections et garanties attachées au salariat traditionnel. 
Ce modèle constitue, selon M. Martinez, un « phénomène de mode » en voie d’extinction :  
« Il y a de plus en plus de salariés qui créent des associations » pour attaquer en justice afin de voir leur relation contractuelle avec ces entreprises requalifiées en véritable contrat de travail (en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne). « Malheureusement, ils ne viennent pas assez à la CGT. (…) Il faut qu’on fasse des efforts », a-t-il aussi reconnu. 
Il a insistait sur l implication des syndicat par leur exigences aux contrats de travail des salaries  afin qu ils puissent au moins assurer leur protection social face aux employeurs ou au risque du marche de travail mais aussi pour qu ils détiennent de meilleurs conditions de travail. comme suit: « il faut un contrat de travail, une protection sociale, des conventions collectives, pour ne pas faire soixante-dix heures payées au smic. La liberté qui signifierait que d’un contrat en CDI [contrat à durée indéterminée] on passerait à un partenariat commercial, c’est du pipeau. Il faut qu’ils aient un contrat de travail et des garanties collectives. »  Mais cette tendance volorisera davantage les emplois atypiques et leur mauvaises circonstances d ou les plus affectés sont les étudiants, les femmes et les immigrés. Comme nous avons vu dans le cours  que les conditions de ces emplois sont plus acceptés par ces derniers car ils s avèrent qu ils sont le type d emploi le plus facile a trouver et le moins complexe en termes d exigences. 
 Evidement, la flexibilité des horaires, une rémunérations minime(salaire minimum) engendreront par conséquence  la précarité de travail . 
Dont cette derniere sdefinie au sein de cette tendance (uberisation) comme une contradiction vu qu elle s identifie comme une  situation acceptable puisqu  qu elle est subjective et relative au sein de la societe francaise et de la Grande-Bretagne  mais engendre en contre partie une incertitude inacceptable dans le futur proche . Comme l affirme M.Martinez : 
« De plus en plus, le travail précaire se développe, ce sont souvent les femmes qui sont ciblées pour ce genre de boulot. On a déjà du mal avec son salaire, on ne va pas vivre avec ces salaires amputés de moitié ! » 
Bibliographie et source: 
kaoutar ziouziou 


Aucun commentaire:

Publier un commentaire