jeudi 8 décembre 2016

le burn-out ne vient pas que du boulot

  L'article de Julie Barlow  est une entrevue avec le sociologue Alain Marchand, professeur et chercheur à l'Université de Montréal.
Cet article traite sur le burn out au travail.  Les entreprises canadiennes écopent jusqu'à 6,3 milliards de dollars en heures perdues et en congés de maladie d'où  le soucis de celui-ci. En effet,  selon Mr. Marchand, le milieu du travail  n'est pas l'unique facteur qui cause l'épuisement professionnel des individus; des facteurs externes tels que les problèmes familiaux (divorce, décès...), sociaux ou d'estime de soi peuvent contribuer au processus de déclenchement du burn out.

Par exemple, il a constaté que de nombreux individus n'avaient pas de vie sociale en dehors du travail et vivaient seuls dans une entreprise en particulier.  Des mesures pour y remédier à cela ont été proposés tels que faire des activités afin que ces employés se construisent des réseaux sociaux.  Il est important que les entreprises tiennent compte de ce que leurs employés vivent à l'extérieur du travail. 

Le but n'est pas de s'ingérer dans la vie privée de ses employés mais de leur porter une certaine attention  dans la mesure si l'on observe qu'elle affecte leur santé au travail ainsi que leur performance.  Les entreprises doivent mettre en place un ensemble de mesures pouvant aider à faire réduire le risque de détresse psychologique et non juste mettre en places des programmes de sensibilisations sur le stress, l'épuisement professionnel etc.  Par exemple, ils peuvent notamment faire réduire la charge du travail,  l'élimination des demandes conflictuelles.
Notamment on peut aborder l'extrait d'Argenson qui relate que le stress envahi tous les types de métiers, la souffrance au travail est un phénomène dominant. Les entreprises s'intéresse davantage à la quantité du travail plutôt qu'à la qualité. 



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