Lors de cette conférence , Mme Jill Hanley ,
débute par définir ce qu’est un travailleur immigrant .Selon elle, ils existent deux définitions. La première est plutôt du sens commun, c’est à dire de
considérer un individu comme étant immigrants lorsqu’il quitte son pays
d’origine pour s’installer au Québec et dont l’un de ses premiers intérêts serait
de trouvé un travail . Selon , Harley ,
la seconde définition est la plus optimale qui est celle valorisée par le CPI ,
l’immigrant travailleur inclut aussi tous les individus résidants au Québec
avec un statut temporaire étant obligé de travaillé pour survivre. Par exemple,
les étudiants internationaux, les demandeurs d’asile qui doivent travailler
pendant l’attente de leur réponse et les travailleurs sans – papiers. En fait ,
tous individus qui travaillent légalement peuvent être protégés par les normes
de travail.
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Qu’es qu’un travailleurs légaux ?
Les travailleurs légaux peuvent autant être ceux sont
payé uniquement cash . À l’opposé, tous travailleurs sans-papier ou travailleur
ayant fait une demande de permis travail, mais que le travail exécuté ne
respecte pas les critères de la demande est considéré comme étant illégale et
ceux – ci peuvent être déporté pour cette infraction.
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Quelles sont les lacunes des normes ?
La première est plutôt fonctionnaliste . Harley
explique qu’il s’avère difficile de rencontrer un intervenant en personne. La
majorité des plaintes se font par téléphone . Le problème est qu’il est fort
probable que les nouveaux arrivants n’ont pas une maitrise du français . Ainsi
, ce manque de capital culturel soit la langue française peut s’avérer comme
une barrière pour l’intervenant ,car il ne pourra bien cerner la nature de sa
plainte . Le temps est aussi un problème, l’intervenant doit suivre un
processus pour considérer une plainte, mais se dit processus peut s’avérer
parfois trop long pour l’immigrant dont le permis travail expira peut-être bientôt.
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Les bénéfices des interventions effectués par la commission des normes de travail .
1-L’une des actions est de passer par l’arbitrage de
grief ou d’appeler l’employeur pour son non respect envers les normes du
travail qui permet à l’employé défendre ses droits sans passer par un avocat ,
car c’est plus économique.
2-Grâce aux nombreuses conférences devant le
parlementaire par les normes du travail , il aura bientôt une réforme du
travail qui sera mise sur pied le 1 er janvier 2019[1].
Selon Mme Harley , les travailleurs immigrants auront maintenant de nombreux
droits :
-
5 jours d’avis de changement d’horaire[2].
-
3 semaines de vacances payées après 3 ans de travail[3]
-
Garantie de journée maladies[4]
Selon Mme Harley , le plus important dans cette
réforme est la division entre police et travail . En effet , avant le ministère
de l’inspection était associé à la police et ils s’arrêtaient plutôt à identité
tous les travailleurs illégaux dans l’établissement . Bien évidemment, cette
intervention policière brise la confiance entre l’employé et l’internant de la comission des normes
du travail.
En bref , il s’avère erroné de croire que les
travailleurs immigrants n’ont pas de droit. Les immigrants doivent être informés
et surtout luttés pour les faire respecter . Harley considère très important de
passer le message qu’il y a des alternatives et de gros changements avenir ,
plus précisément le 1er janvier 2019 !
http://www.cnesst.gouv.qc.ca/salle-de-presse/campagnes/normes/Pages/campagne-normes.aspx
( Consulté le 14 octobre 2018)
[2] Ibid
[3] ibid
[4] ibid
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